http://www.paisefilhos.pt/index.php/opiniao/eunice-guerreiro/6025-historias-que-ajudam-quando-o-dinky-morreu
Susana Morão
Psicóloga clínica e Psicoterapeuta
Departamento da infância (Almada)
http://www.psicronos.pt/consultas/psicologia-e-psicoterapia-infantil_5.html
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terça-feira, março 04, 2014
Uma história que ajuda a explicar a morte às crianças.
quarta-feira, março 20, 2013
"AMOUR": UMA HISTÓRIA DE AMOR OU DE HORROR?
George e Anne são um casal que se vê confrontado com a
invasão do inesperado. Anne sofre um AVC que a leva a um rápido declínio físico
e à demência. George mantém-se junto da mulher e mãe dos seus filhos, assumindo
o seu cuidado e contrariando o desejo de morrer, manifestado através de
palavras e atos nos momentos de maior lucidez.
“Amour” confronta-nos com uma série de situações reais: o
envelhecimento, a doença, o declínio, a dependência, a solidão, o isolamento, a
depressão, a perda de dignidade, a morte. Ao abordar estes temas, aborda,
provavelmente, os maiores fantasmas do ser humano. Por este motivo, a par com a
admiração pela persistência e amor de George, provoca-nos um nó no estômago por
nos obrigar a pensar no que procuramos manter distante de nós.
Os seniores irão provavelmente terminar o filme em silêncio,
pela angústia de um quadro que pode aproximar-se a uma velocidade imprevisível.
Os adultos mais jovens antecipam a morte dos seus pais ou dos seus avós e, até
mesmo, a sua própria morte. “Amour” confronta-nos com a finitude, sem a paz com
que a maior parte de nós gostaria de a encarar.
“Amour” é uma história de amor que nos horroriza pela crueza
com que nos apresenta a realidade e nos leva, pouco subtilmente, à polémica da
eutanásia. O final é entendido por uns como um ato de amor e, por outros, como um
ato de raiva.
terça-feira, maio 01, 2012
segunda-feira, outubro 10, 2011
SÁBIAS PALAVRAS
Segue o extracto de uma entrevista (em francês) com Arturo Pérez-Reverte, um homem que consegue o milagre de escrever luminosa e profundamente.
Comme 'Le peintre des batailles', votre roman développe une réflexion sur les lois du hasard, et en particulier celles décident du moment de notre mort. Comment ce sujet en est-il venu à vous passionner ?
J'ai été reporter de guerre, et dans les guerres, les choses sont très différentes. Lorsque nous vivons, dans un pays en paix, nous vivons un peu comme dans un hôtel, et nous croyons que c'est cela, la normalité. Or ce n'est pas cela: la normalité, c'est plutôt l'horreur. Il y a dans la nature, des règles constantes. La douleur, la mort, sont des choses qui à mon avis, en font partie, ce ne sont pas des choses accidentelles. Cela répond à un plan général. Dans ce livre, et dans 'Le Peintre des batailles', j'essaie d'expliquer cela, ces règles occultes qui fera qu'il y aura toujours un iceberg sur la route du Titanic, toujours un tsunami, une catastrophe qui nous attend. Nos grands parents, eux, savaient cela, on le remarque en regardant leurs tableaux, en lisant leurs livres, ils avaient conscience de la menace permanente, de la cruauté du monde, de ses règles impitoyables. Dans notre Europe, nous vivons une vie qui n'a rien à voir avec la vie réelle et il faut qu'une bombe explose pour nous rappeler que le monde est dangereux, que l'homme est un animal vulnérable. C'est ce que j'ai appris dans ma carrière de journaliste, et avec ce regard, je tente d'expliquer un peu la vie. Ça ne donne aucune solution, ça n'efface pas le malheur et l'horreur, ça aide à les supporter. Je vais avoir 60 ans en novembre: je ne cherche pas à changer le monde, je pense qu'il n'y a pas de solution et j'essaie de donner des consolations.
Comme 'Le peintre des batailles', votre roman développe une réflexion sur les lois du hasard, et en particulier celles décident du moment de notre mort. Comment ce sujet en est-il venu à vous passionner ?
J'ai été reporter de guerre, et dans les guerres, les choses sont très différentes. Lorsque nous vivons, dans un pays en paix, nous vivons un peu comme dans un hôtel, et nous croyons que c'est cela, la normalité. Or ce n'est pas cela: la normalité, c'est plutôt l'horreur. Il y a dans la nature, des règles constantes. La douleur, la mort, sont des choses qui à mon avis, en font partie, ce ne sont pas des choses accidentelles. Cela répond à un plan général. Dans ce livre, et dans 'Le Peintre des batailles', j'essaie d'expliquer cela, ces règles occultes qui fera qu'il y aura toujours un iceberg sur la route du Titanic, toujours un tsunami, une catastrophe qui nous attend. Nos grands parents, eux, savaient cela, on le remarque en regardant leurs tableaux, en lisant leurs livres, ils avaient conscience de la menace permanente, de la cruauté du monde, de ses règles impitoyables. Dans notre Europe, nous vivons une vie qui n'a rien à voir avec la vie réelle et il faut qu'une bombe explose pour nous rappeler que le monde est dangereux, que l'homme est un animal vulnérable. C'est ce que j'ai appris dans ma carrière de journaliste, et avec ce regard, je tente d'expliquer un peu la vie. Ça ne donne aucune solution, ça n'efface pas le malheur et l'horreur, ça aide à les supporter. Je vais avoir 60 ans en novembre: je ne cherche pas à changer le monde, je pense qu'il n'y a pas de solution et j'essaie de donner des consolations.
sexta-feira, janeiro 15, 2010
Lhasa
segunda-feira, janeiro 04, 2010
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